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Née d’un père chanteur et baignée dans la musique populaire, Marilyn décide, à son tour, de faire entendre sa voix : elle débute dans un chœur de chants du monde où elle découvre la magie de la polyphonie. Elle fera ensuite ses premiers pas sur les planches en 2010 en combinant chant a cappella et théâtre. Sa passion pour la musique d’Europe de l’Est grandissant, elle intègre un ensemble de musique des Balkans où elle rencontre Audrey. Leurs deux voix ne se quittent plus et explorent dans différentes formations les possibles combinaisons. De cette rencontre décisive naît Luludji, projet dans lequel Marilyn réinvente sa musique des Balkans. Elle continue de nourrir son amour pour les chants traditionnels par ses voyages et en explorant les différents modes d’expression vocale et d’interprétation avec Martina Catella.

Marilyn Siedlis

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Bercée depuis toujours par des voix jazz et brésiliennes, ressentira ses premières émotions de musicienne avec le piano classique qu’elle débute à l’âge de 17 ans.

C’est au détour d’une rue de Montreuil qu’elle tombera amoureuse des sonorités et voix tziganes. Elle plonge alors à corps perdu dans cette musique et se familiarise avec un large répertoire de chansons des Balkans dans un ensemble vocal et instrumental où elle rencontre Marilyn. Avec elle, elle partage le plaisir intense que lui procure la polyphonie et l’envie effrénée d’apprendre et de s’exprimer à travers cette musique. Elle intègre ensuite différents groupes de musique des Balkans et crée enfin, avec Marilyn, Luludji.

Audrey Bza

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Fils de musiciens, un père guitariste et un beau-père saxophoniste, Romain Speiser commence très jeune la pratique de la batterie par le jazz. Après avoir fréquenté différents cours privés et institutions musicales, il devient, à l’âge de dix-sept ans, musicien professionnel. Il explore de nombreux styles musicaux (jazz, hip-hop, salsa, chanson, rock et électro-funk, musiques traditionnelles) et son jeu, à la batterie comme à la percussion, se nourrit de très nombreuses influences, notamment celle du groupe Bratsch, qu’il a eu la chance de côtoyer de près. Polyvalent, il met à profit dans Luludji ses expériences multiples et y trouve l’espace pour créer un pont entre musique d’Europe de l’Est et musique populaire contemporaine.

Romain Speiser

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Curieux, Wilfried Touati ne se donne pas de frontières musicales. De formation populaire, classique puis jazz, il multiplie les projets allant du duo à l’orchestre symphonique, des arrangements à la composition... Il a créé le « Wilfried Touati Quartet » où il joue ses compositions dans une formation plutôt jazz. Mais on le retrouve aussi dans Pixelophonia, où il joue avec une quarantaine d’autres musiciens un répertoire consacré à la musique de jeux vidéo… Sa personnalité, à la fois forte et sensible, s’intègre dans tout type de démarche musicale pourvu qu’elle ait la place de s’exprimer. Ainsi, il s’épanouit dans le groupe Luludji en interprétant librement des mélodies traditionnelles et en y intégrant ses improvisations.

Willfried Touati

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Antoine Bonvoisin a débuté au chant et à la guitare à l’âge de 17 ans. Naturellement porté vers le jazz et la chanson française, il s’est aussi intéressé aux musiques traditionnelles, notamment d’Irlande et d’Europe de l’Est. La musique occupant une place toujours plus importante dans sa vie, il décide en 2009 de suivre un cycle intensif jazz et commence à jouer dans différentes formations. Séduit par la contrebasse, il ajoute une nouvelle corde à son arc et intègre des groupes de swing et de musique traditionnelle (de France et d’Europe de l’Est). Sa curiosité naturelle et son goût pour le métissage le poussent à découvrir toujours de nouveaux répertoires et à tenter de nouvelles expériences. Il n’a opposé aucune résistance quand Luludji l’a embarqué sur de nouveaux rivages.

Antoine Bonvoisin

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Samuel Maquin grandit dans une famille de mélomanes et commence la clarinette classique à l'âge de 7 ans. Dix ans plus tard, il tombe amoureux de la musique Klezmer. Avec les "Mentsh", groupe dont il est le cofondateur, Daniel Kahn and the painting birds et d'autres encore, il tourne dans le monde entier. Il transmet aussi la musique klezmer lors de master class. Il fricote ensuite assez logiquement avec les répertoires roumains, moldaves, serbes ou yougoslaves et y trouve une grande liberté d'improvisation. Dans le groupe "Paris Odessa", sa clarinette se fait résolument balkanique. Il apporte aujourd'hui au son de Luludji toute la palette de couleurs qui caractérise la musique tzigane.

Samuel Maquin

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